Anglais : bonheur à venir ?

Anglais : bonheur à venir ?

Titre caustique mais si réel. Dans notre article du 20/04 Attention au 6 Mai nous avions prévu que la réalité reprendrait ses droits et qu’on découvrirait la réelle situation de l’Angleterre qui de loin dépasse la Grèce dont pourtant on a beaucoup parlé. Un peu mois de 2 mois plus tard, on a eu raison.

David Cameron, le Premier ministre britannique a déclaré que les difficultés budgétaires étaient bien supérieures à ce qu’il avait anticipé.

Il dresse un tableau sombre de la situation des finances publiques du pays qui possède un déficit supérieur à 11% du PIB.

« Selon les calculs du dernier gouvernement, d’ici cinq ans, l’intérêt que nous payons sur notre dette, l’intérêt seul, devrait représenter environ 70 milliards de livres (85 milliards d’euros). C’est proprement stupéfiant. »

Et ce n’est qu’un début. Nous devrions écrire dans Les Echos ou La Tribune -:)

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